Pour Invitation à la Vie (IVI), mieux vivre avec les autres, c’est apprendre à ne pas les juger, à leur pardonner, à les écouter, à les respecter et se faire respecter, à donner… Autant de découvertes mises en oeuvre dans les histoires de vie qui sont proposées ici.
Le travail, moyen d’échange avec les autres
Avec la famille, le travail est l’un des fondements de notre vie sociale. Les problèmes relationnels y sont parfois aigus. « Le travail est une noble chose mais à condition de vivre ce travail comme un moyen de subvenir à nos besoins, et non d’accumuler de l’argent et des biens, et surtout comme un moyen d’échange avec les autres, afin de partager le sens de la vie et de ne pas perdre de vue l’essentiel des réalités, de ce que nous avons à faire ici-bas. » (Yvonne Trubert, fondatrice d’Invitation à la Vie)
Cadre dans une grande entreprise, entrepreneur, infirmière ou artiste, chacun peut expérimenter comment ses relations et ses objectifs professionnels se transforment, combien les tensions et problèmes s’apaisent grâce au regard d’amour que l’on apprend à poser sur son collègue, son client, son fournisseur ou son patient.
Découvrir Invitation à la Vie
Association laïque, IVI propose à chacun, dans sa singularité, de recentrer son existence sur une valeur universelle christique : l'amour. Invitation à la Vie, c’est un apprentissage pour transformer son quotidien ; c’est apprendre à mieux s’aimer soi-même, à ouvrir son cœur aux autres en acceptant leurs différences.
Accepter l’autre tel qu’il est
Les membres d’Invitation à la Vie témoignent qu’avec le temps, ils ont considérablement amélioré et approfondi leurs rapports avec leurs proches, famille, amis ou collègues de travail. D’abord par l’apprentissage essentiel du non-jugement de l’autre : c’est une extraordinaire expérience pour découvrir celui qui, de prime abord, ne vous est pas sympathique, vous choque ou vous ennuie. Au fur et à mesure des rencontres, les relations s’approfondissent, se transforment et on vit la richesse d’accepter les autres comme ils sont. « Insensiblement, j’ai été touchée, comme apprivoisée par la simplicité des liens qui se tissaient entre nous », raconte Anna.